jeudi 5 juin 2014

Mekaku City Actors - Ep 7+8 - Transhumanisme

Fin du flashback sur Ene et compagnie et retour au cimetière où chacun réalise ce qu'ils viennent d'apprendre. Ils parlent des liens qui les unissent et c'est à peu près tout pendant plus de la moitié de l'épisode 7. La santé fragile du garçon aimé par Ene lui a causé sa perte et a obtenu donc le corps surpuissant de ses rêves. La transformation d'Ene en IA est un peu floue mais laisse resurgir la musique électrisante de l'épisode planant et nous plonge plutôt dans un état semi-conscient à l'instar de la jeune fille. S'ensuit une valse des sentiments et des mémoires qui fait revenir à l'esprit maux du passé et difficultés du présent. Où cela va-t-il mener les protagonistes ? Nulle idée.

De l'homme à la machine, il n'y a qu'un pas.
L'enfant secouru dans l'accident (j'ai oublié, celui avec le cyborg ?) semble avoir un pouvoir lui aussi et tentera d'en savoir plus (ou alors j'ai rien compris). D'accord je vais pas m'attarder sur le scénario car la narration est super bordélique. L'épisode 8 est beau, c'est toujours du Shaft propre et esthétiquement très travaillé, avec des plans et des décors somptueux. Mais c'est même plus s'accrocher qui est demandé, c'est enfoncer ses doigts profondément dans la narration pour essayer de pas en décrocher. Misère, c'est brouillon, tout s'enchaine sans forcément nous aider avec des notions de présent, passé, réel etc. C'est dur, on entend une nouvelle chanson à chaque épisode et il semblerait que le reste autour soit tissé pour donner une excuse au clip. Je suis probablement de mauvaise foi ou juste trop con pour comprendre l'histoire, mais sans blague c'est dur de suivre malgré les qualités indéniables du titre. 

Plus ou moins le même décor pendant tout l'épisode...

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