Les 4 sbires de Satsuki. Mako. Ryuko et Satsuki. Ragyo. Le navire des Nudist Beach. Tous ont eu droit à leur phase de power-up ou assimilé dans cet épisode qui va toujours plus loin dans la démesure.
Ceci n'a aucun rapport avec ce qui suit. |
Is this your final form ? |
Eh bien dans Kill la Kill c'est un peu le même syndrome. Les personnages conservent leur seul trait psychologique et vas-y qu'on amplifie ça à coup de surabondance classique, pas vu pas pris j't'embrouille. Ainsi l’œuvre ne se démarquant pas des codes ultra stricts du genre, malheureusement la surprise de voir ceci ou cela se produire n'en est que moindre. Et du coup malgré le dosage irraisonné de puissance et d'effets visuels, on n'est pas si ébahi que ça. C'est vraiment dommage dans un sens, on aurait apprécié du gigantesque couplé à de l'osé. Avec du courage au niveau de l'écriture, un poil plus de dramatique, la série aurait frôlé la perfection. On sait jamais ce que nous réserve le tout dernier épisode toutefois, bien que la fin soit prévisible à des lieues. On sait que les deux sieurs vont affronter leur mère, dernier boss final ultime super puissant des ténèbres. Et à moins qu'un truc super imprévisible débarque de nulle part, elles vont la battre et sauver le monde et voila. Surprenez-nous Trigger !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire