Je m'étais déjà enthousiasmé plus tôt sur cette série car son staff est à tomber, surtout le scénariste, et qu'aiment pas mal les mechas, ça ne pouvait qu'être bon. Et ouai, merde, c'est juste fou. Beau, bien doublé, musiques superbes, des chansons même, et une animation au poil. Un début dingue qui met en place un univers dont on a à peine gratté la surface et qui promet des folies qui iront toujours plus loin. Car Gen Urobuchi, alias Urobutcher (jeu de mot avec boucher, oui) est un grand malade qui n'hésite pas à faire subir des choses très sales à ses personnages et à nous retourner la tête sans aucune forme de pitié. Donc accrochez-vous, ça va secouer !
Des forteresses en orbite. Une Lune partiellement détruite. Notre monde a bien changé... |
Profitez bien de cette rare vue de mecha de l'épisode (avec des yeux brillants, toujours). |
Par contre on subit de plein fouet les clichés du genre mecha avec une princesse donc, des mecs en costume militaire, des noms teutons et autres conneries du genre. Bon ça s'arrête là, pas de héros brun tête brûlée ou de copine amoureuse pour le moment, donc on se rassure comme on peut. Quasiment pas de mecha à l'écran et absolument pas d'action du héros avec transformation de mecha à la clef, le classique de fin de premier épisode de série mecha. Comme quoi. Mais beaucoup de frissons en fin d'épisode néanmoins avec le débarquement des antagonistes qui vont faire pleuvoir le sang incessamment sous peu. Les thèmes chers à Urobuchi sont là : le désespoir, la mort, la joie... non je rigole, on en est loin encore. Bref, que du très sombre et à venir ça ne fera qu'empirer. Mais quel spectacle !
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