Sekai Seifuku : Zvezda Plot - Récap + Ep 8 - La vengeance du retour du passé

Sekai Seifuku est un peu l'anime challenger qu'on ne voit pas arriver et qui malgré tout se démarque. Sorti de l'esprit fertile du papa de Darker Than Black, il parle d'une petite fille, Kate, qui depuis son tricycle arrive à nous parler de conquête du monde et de son plan imparable pour y parvenir. Et le pire, c'est qu'un groupe de personnes toutes plus originales les unes que les autres la suivent dans son projet. Alors évidemment ça transpire l'humour et les absurdités, mais tout en gardant un fond sérieux. C'est un poil perturbant car on a du mal à prendre l'histoire au sérieux. En revanche côté réalisation c'est une série correcte sans folies particulières si ce n'est des angles de caméra dynamiques intéressants lors des combats. Dotée d'un chara-design vraiment sympathique et une esthétique globale agréable à l’œil, la série est très belle et ses couleurs rafraichissantes. Les musiques d'ambiances sont toujours superbes avec ce petit côté féérique empreint de magie.

Aie confiaaaance...

Dès la scène d'ouverture on sent que l'histoire va se lancer cette fois avec un nouveau ponte de l'organisation White Light qui cherche à arrêter notre mignonne petite Kate et sa bande. Mais le soufflé retombe très vite avec l'ambiance joyeuse de l'event que Kate suit avec grand plaisir. Parodiant les héros sentai propres à la culture japonaise, nos demoiselles de White Light préparent un sale coup pour capturer nos héros et parviennent à hypnotiser le groupe présent à la fête.

Le bon vieux flashback des familles.

 Parallèlement Goro (le vieux costaud) poursuit une enquête sur un ancien acolyte et finit par démasquer l'identité de la fille qui hypnotisait le groupe : Kaori alias White Falcon. Le coup de la vieille connaissance qui devient ennemie des héros, c'est pas nouveau entre nous, mais quand c'est pas trop mal fait, ça passe. Là c'était assez moyen à mon goût, le mystère autour de la fille laissait entendre qu'elle était proche des protagonistes et ça n'a pas manqué.