L'épisode 11 nous emmène dans un monde fictif, véritable rêve d'otaku avec des jeunes filles moe/furry/débiles qui courent partout pour un peu qu'on les fusille d'un pistolet à amour. Bref, le jeu est une connerie qui est toutefois relevée par les capacités sensorielles de dingue de Shiro et les autres. Mais surtout Shiro qui vole la vedette à tous de par son talent au tir. Et alors qu'après un stratagème rudement bien pensé et mené à bout semble se terminer, l'épisode se finit sur un cliffhanger (en est-il vraiment un ?) nous permettant de douter un peu de l'issue du match. Donc un épisode 11 comme sa note : 11/10, would watch again.
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| Des essais fructueux. |
Et donc la série de l'année se termine avec un plan calculé par notre Sora du haut de ses 800 de QI. Plan maitrisé depuis tellement de coups à l'avance qu'on se demande s'il était pas pensé avant la naissance même de ses adversaires. Sans rire, c'est vicieux de tout calculer à ce point mais ça paye, et ils gagnent des terres, des alliés et de la puissance face à Tet, le dieu qu'ils ont jadis décidé de vaincre à son propre jeu. Le monde entier n'est qu'un plateau d'échecs et il serait dommage pour Blank de ne pas participer à l'amusement d'un tel jeu. La série s'achève alors sur tout ça en présumant qu'une suite verra le jour, on l'espère car la qualité est là, l'écriture du scénario est géniale, les rebondissements sont hallucinants et c'est très très beau. Encore !
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| Le monde comme plateau de jeu. |
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