samedi 29 mars 2014

Nourin - Ep 12 - Fini de rire !

Ah chouette, la musique et le thème du Love Mixer (rendez-vous arrangé entre célibataires dans le but de ne plus l'être pour longtemps) nous indiquent déjà un ton plus léger. On sent de surcroit que la série peut se terminer sur la décision du héros quant à ses sentiments à avouer. Et soudain, l'élément décisif du rire de la série : Ms Becky, la prof principale de la classe de nos jeunes agri-étudiants.

Tomahou Sensei Becky

Les références s'accumulent et le délire est total. Les scénaristes n'ont besoin de rien d'autre que de cette prof pour se lâcher et bon sang que ça fait du bien, surtout après le précédent épisode. Eh bien malgré l'humour on réussi quand même à apercevoir un cri de douleur de la part de la société japonaise à travers la femme qui dit vouloir épouser un agriculteur car la pression sociale et la vie à la ville sont telles que ça en devient un supplice. Une dure vie de fermier devient alors plus calme et reposante. C'est la triste réalité du Japon d'aujourd'hui. 

Le drama se poursuit alors jusqu'à atteindre le mariage arrangé entre Kousaku et Minori qui tourne au vinaigre car le pot au rose est dévoilé. S'ensuit un blabla sur la rivalité ville/campagne et au final il décide de ne pas choisir entre les deux filles. Classique, un héros de romance de série japonaise n'a que rarement de burnes pour se décider. Bref, passons.

Ça t'apprendra à ne pas faire de choix. Petit con.
Et la série s'achève là sur un happy ending retour au status quo de départ sans réelle progression. La fin ouverte de l'indécision classique parmi les classiques. Finalement que retenir de la série Nourin ? Beaucoup d'humour, beaucoup d'humour et vraiment pas mal d'humour. Le reste n'est pas important.

1 commentaire:

  1. Que Kō fasse un choix entre Minopoyo ou Ringo aurait été sacrément fils-de-putiste, on ne nous attache pas au deux personnages pour ensuite nous la mettre derrière.

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