Les clichés s'accumulent. La cigale sur l'arbre, le discours dans le bain. Le rythme retombe pas mal dans l'épisode 5 qui se concentre sur un jeu de tensions et de menaces plus que sur de l'action réelle. Cela aurait pu être sympa si la direction artistique tenait le coup, mais le tout est bien trop faible pour rendre un dialogue intéressant. C'est con mais Shaft aurait rendu ce genre de discours beaucoup plus dynamique avec son esthétique et sa réalisation particulière. L'histoire n'aurait pas changé mais la pilule serait mieux passée. Bon, on va pas refaire le monde, la série est comme elle est. Et c'est plutôt moyen pour le moment.
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| Tout ce brouillard n'aide pas à améliorer le visuel de la série. |
Et le peu d'action répète encore le même schéma : une fille attaque ou piège Haru, Tokaku la sauve en mettant en péril les plans malfaisants de l'assassine. Fin. Et l'épisode 6 est pareil, sans surprise. Du blabla, de la planification d'assassinat, toujours avorté. Aucun semblant de suspense ni de retournement de scénario de dingue comme on on aurait pu en voir dans un Mirai Nikki ou un Death Note (plus ou moins du même genre mind game survival, mais en bien meilleur). Bon je suis mauvaise langue, car l'épisode reprend un grand classique de la dramaturgie, à savoir Romeo & Juliet qui ici verra deux filles (dont une super garçon manqué pour jouer Romeo, vous l'avez ?) lier leur histoire à celle de la pièce et se suicider à la manière des protagonistes éponymes.
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| O Romeo, Romeo! wherefore art thou my Romeo? |
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