Mekaku City Actors - Ep 11+12 - This isn't even my final twist

Où l'on apprendra comment l'actuel Mekakushidan s'est formé, après la disparition de la chef du groupe et d'événements tragiques liés aux pouvoirs des jeunes, manipulés par le professeur fou qui conserve encore les corps d'Ene et du garçon blond cyborg. L'histoire est toujours très confuse car on passe du présent au passé sans avertissement, pas même visuel, et qu'il faut sans cesse opérer une gymnastique mentale qui pousse à l’énervement plutôt qu'à l'appréciation de la série. C'est quasiment le seul défaut, cette narration bordélique. Mais ça casse toute immersion dans la série en cassant le rythme déjà difficile à comprendre. Le coup de la boucle des 4 premiers épisodes encore ça peut passer, mais par la suite chaque épisode ajoute un peu plus de bazar aux précédents et on a l'impression qu'à part offrir des clips aux fans des albums, la série n'a aucun but réel.

À gauche : toi, moi, peu importe ; à droite : un scénariste. Voilà.

No Game No Life - Ep 11+12 - Série de l'année

L'épisode 11 nous emmène dans un monde fictif, véritable rêve d'otaku avec des jeunes filles moe/furry/débiles qui courent partout pour un peu qu'on les fusille d'un pistolet à amour. Bref, le jeu est une connerie qui est toutefois relevée par les capacités sensorielles de dingue de Shiro et les autres. Mais surtout Shiro qui vole la vedette à tous de par son talent au tir. Et alors qu'après un stratagème rudement bien pensé et mené à bout semble se terminer, l'épisode se finit sur un cliffhanger (en est-il vraiment un ?) nous permettant de douter un peu de l'issue du match. Donc un épisode 11 comme sa note : 11/10, would watch again.

Des essais fructueux.

À venir - Aldnoah.Zero

Pourquoi j'ai mes raisons d'être excité par cette série ? Car beaucoup de beau monde s'y retrouve et que ça peut faire des étincelles. Gen Urobuchi au scénario, le papa de Madoka ou encore Psycho-Pass peut à nouveau nous réserver des surprises. À la réalisation, Ei Aoki connu pour son travail sur Fate/Zero. Et encore d'autres moins connus mais tout aussi respectables. Et c'est du mecha, avec son lot d'action, de drama et de rebondissements.

Que justice soit faite.

Akuma no Riddle - Ep 12 - Fin des souffrances

Ahahah du jamais vu, ce n'était qu'une illusion. Oui, la Tokaku menaçante n'était pas réelle et il s'agissait de la petite blonde / boss final qui manipulait l'esprit de Haru. Ouf alors, ce qu'on a tremblé alors que ça aurait pu devenir intéressant. S'ensuit un combat vraie Tokaku contre fausse Tokaku, où je n'ai jamais su dire qui était la vraie des deux, c'est dire... Après Haru se jette sur Tokaku pour la tuer et se fait tuer à sa place. Là je me suis assoupi un peu car les violons ça adoucit les mœurs donc ça m'endort. Ah oui à ce stade la blonde est déjà morte bien entendu. Donc Tokaku gagne le jeu car elle est là dernière en vie. Notez bien ces mots car...

Ma tête quand ce qui suit.

Ping Pong The Animation - Ep 9+10+11 - Le sang a un goût de fer

Smile, le monstre. Il bat tout sans pitié, même les adversaires connus pour être coriaces et imbattables. Mais au delà de ça, ce que l'on retiendra de l'épisode 9 qui le verra se hisser en finale du tournoi, c'est son amitié infinie pour Peco, qu'il considère comme un modèle. Ce dernier n'est rien d'autre que son héros, celui qui lui aura ouvert les portes du ping pong, de l'amitié et de la compassion. Ce n'est pas rien de dire qu'ils vivent, à leur manière, une bromance superbe et complémentaire qui est remarquablement bien narrée à l'écran.

Smile

Mekaku City Actors - Ep 9+10 - Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ?

Après un opening en CGI complètement dégueulasse et inexplicable, l'épisode 9 reprend avec le passé du groupe et le lien qui pourrait les unir. Ça parle de reine des serpents, d'un conte pour enfant, il pleut et à la fin on voit le corps physique de Ene (elle participe à la scène avec des gros yeux d'étonnement). J'ai du mal à suivre, comme dit précédemment c'est très fouilli et il faut s'accrocher dur pour comprendre quelque chose. En gros des situations de NDE (near death experience), ou Expérience de Mort Imminente, auraient provoqué l'apparition de capacités spéciales chez les enfants et cela aurait trouvé sa source à travers un conte pour enfants qui raconte l'histoire d'un monstre. Sauf qu'à la fin de la vraie vie, ça ne se finit pas aussi bien que dans le conte. Bref, des trucs sont élucidés, d'autres mis en lumière, et le final approche à grands pas. Poursuivons.

Passion colimaçon.

Akuma no Riddle - Ep 9+10+11 - Jeunes-Filles-Psychotiques Torture Simulation

Les adversaires tombent comme des mouches et notre duo de demoiselles se retrouve très vite seules face à leurs ultimes opposantes. Vivant dans un manoir, riche, dingue et très dangereuse, une d'elle mènera Tokaku comme chacune des autres filles avant, laissant Haru l'aider toujours au moment venu. Bref, rien de nouveau, le schéma narratif est encore une fois le même et la série peine à décoller à quelques épisodes de son final.

Le lancer de lustre.

No Game No Life - Ep 9+10 - Let the Game begin !

Et boum. L'épisode 9 rajoute une couche de suprême mind game de fou. Comment ? En faisant en sorte que Shiro, ayant perdu son frère et celui-ci ayant effacé son existence de la réalité et des mémoires, arrive à deviner le plan de son génie de grand frère qui avait parié sa vie et ses souvenirs contre Kurami (la jeune fille à l'elfe). Non seulement elle anticipe et déduit tout de ce que son frère avait pensé mais elle réussit à la perfection ce qu'il voulait qu'elle devine et réalise. Bref, c'est une partie d'échecs avec 15 tours d'avance qui ne pouvait que se terminer dans la victoire et qui démontre encore une fois à quel niveau divin se trouve leur intelligence. C'est scandaleux tant c'est élevé et brillant. L'auteur est bon, la réalisation est sublime, c'est génial.

Le processus de raisonnement de Shiro.

Mekaku City Actors - Ep 7+8 - Transhumanisme

Fin du flashback sur Ene et compagnie et retour au cimetière où chacun réalise ce qu'ils viennent d'apprendre. Ils parlent des liens qui les unissent et c'est à peu près tout pendant plus de la moitié de l'épisode 7. La santé fragile du garçon aimé par Ene lui a causé sa perte et a obtenu donc le corps surpuissant de ses rêves. La transformation d'Ene en IA est un peu floue mais laisse resurgir la musique électrisante de l'épisode planant et nous plonge plutôt dans un état semi-conscient à l'instar de la jeune fille. S'ensuit une valse des sentiments et des mémoires qui fait revenir à l'esprit maux du passé et difficultés du présent. Où cela va-t-il mener les protagonistes ? Nulle idée.

De l'homme à la machine, il n'y a qu'un pas.